Quelle taille de lame optimale pour servir un grand gibier?

une deuxième balles pour achever un animal blessé pourquoi pas mais attention a bien la placé pour ne pas le faire souffrir plus et être obligé de finir par aller le servir.
par pitié pas de troisième ni quatrième balles pour évité dans faire une passoire.

une baïonnette ne coute pas très cher c'est costaud et on peut en trouver en inox.

Le minimum nécessaire est de 17 cm ! L'idéal étant une lame à deux tranchants, une baïonnette ne doit pas être utilisée telle qu'elle, mais préparée pour avoir au moins le tranchant et contre tranchant affûté "rasoir".

Amicalement, JP2.

À vingt ans, je croyais qu'une de 20cm était la panacée, je l'ai eu, mais elle ne servait pas beaucoup. La trentaine survint avec un peu plus d'expérience, je m'aperçus que 13,5 cm faisaient l'affaire. Quarante ans furent mes heures de gloire et bien utilisés 11,5 cm ont fait face à beaucoup de situations. Maintenant avec ses 8,5 cm, il est dans la poche et ne fait qu' illusion.
Bien sûr, je parle de dagues et de couteaux..!

labalain a écrit:À vingt ans, je croyais qu'une de 20cm était la panacée, je l'ai eu, mais elle ne servait pas beaucoup. La trentaine survint avec un peu plus d'expérience, je m'aperçus que 13,5 cm  faisaient l'affaire. Quarante ans furent mes heures de gloire et bien utilisés 11,5 cm ont fait face à beaucoup de situations. Maintenant avec ses 8,5 cm, il est dans la poche et ne fait qu' illusion.
Bien sûr, je parle de dagues et de couteaux..!

Évidement je ne voyais pas de quoi tu pouvais parler d'autre

Apres avoir assisté à 2 ou 3 scenes qui ne m'ont pas plus du tout je vais aussi m'équiper d'une dague en suivant vos conseils, mais il faut que j'aprenne à m'en servir.

Je vais me faire expliquer par un "bon" sur un animal mort un de ces 4, mais est-ce que vous pouvez m'expliquer la theorie?

Il faut piquer le coeur, ok. Mais vous plaquez l'animal au sol ou vous agissez "a bout de bras" pour pouvoir vous ecarter si besoin?

Merci de vos conseils.

Quand je sers un sanglier, je me colle à lui, je suis plus costaud pour le servir correctement. Et quand les chiens le tienne ça va tout seul. Après ce n'est que ma façon de faire et ce n'est peut être pas la meilleure. J'essai de piquer au cœur mais ce n'est pas toujours facile.

Je suis pas un expert mais selon moi il vaut mieux maîtriser l'animal en le plaquant au sol plutôt que de piquer simplement en tenant sa distance. Il ne faut pas lui laisser de liberté

Maître a écrit:Je suis pas un expert mais selon moi il vaut mieux maîtriser l'animal en le plaquant au sol plutôt que de piquer simplement en tenant sa distance. Il ne faut pas lui laisser de liberté

exact, on peut piquer beaucoup plus précisément quand l'animal blesser est maitrisé

Généralement je fais le tour de l'animal, le plaque au sol et lui attrape l'oreille pour les sangliers et les chevrettes, par les bois pour les brocards quand ils en ont! ^^

Ok, merci pour vos conseils. A la prochaine occasion je me fais montrer sur un animal déjà mort.

Après tout dépends de l'animal, si c'est un gros sanglier et qui est vraiment encore actif, il vaut mieux des fois remettre une balle que de risqué l'accident. Il faut piqué un animal que si tu te sent de le faire. Commence déjà sur un gibier assez calme pour prendre de la confiance et bien placé ta dague! ^^ le plus dur en faite c'est d'immobilisé la bête.

Il me reste quelques neurones, je n'irai pas me jeter sur un 100kg qui a une legere blessure pour mon baptême du feu!

1henri a écrit:Il me reste quelques neurones, je n'irai pas me jeter sur un 100kg qui a une legere blessure pour mon baptême du feu!

+1
La semaine dernière, j'ai piquer un 104kg...pas le choix,il avait 4 chiens pendus après !!! C'est pas ce que je préfère !!! Entre éviter les coups du sanglier et les dents des chiens  je me suis déjà fait mordre par un chien en servant un sanglier...je fais gaffe maintenant !

Oui, pas de témérité mal placée..!  

1henri a écrit:Il me reste quelques neurones, je n'irai pas me jeter sur un 100kg qui a une legere blessure pour mon baptême du feu!

Après quelques verres de Vouvray on ne sait jamais...