L'interface bricolé du SIA entre administration et détenteur

Bonjour

J'ai reçu des réponses à mes observations

Je critique pas l'ouverture du compte qui ne pose pas de problème (sauf si vous n'avez pas internet)

Mes critiques porte sur la recherche du N° RGA

Bien sur que quelqu'un possédant Excel (coût 139€) et qui a une pratique du logiciel va y arriver, mais on est loin de la quasi totalité des détenteurs d'armes

En ce qui concerne le chambrage, il est évident que ce chambrage qui n'est pas une caractéristique de dangerosité de l'armes, ne doit pas faire partie de l'attribution du N° RGA, d'autant plus que sur le carnet européen seul le calibre est mentionné.

Par contre en cas de transaction de l'arme et de munitions le chambrage est une donnée obligatoire.

N'oubliez pas que des armes en circulation ont été rechambrées pour accepter des munitions plus longues que vous ne retrouverez pas dans le fichier actuel;

Même cas pour la longueur du fusil dont la crosse a été adaptée à la morphologie du chasseur, voire la longueur du canon pour le déchoker alors que dans le fichier ces caractéristiques sont au millimétre

J'ai été confronté à ce type de problèmes pour certaines de mes les armes.Heureusement ce fusil avait acheté neuf donc je connaissais les caractéristiques d'origine donc j'ai repris le N° RGA du fusil neuf.

Un bon nombre de fusil ont été acheté d'occasion dont la marque présente un flou. Par exemple il y a une confusion entre la marque Manufacture de saint Etienne et la marque nominative d'artisans de Saint Etienne.

J'ai eu le cas sur un express acheté d'occasion déclaré en marque Manufacture de Saint Etienne (ce qui est mentionné sur la déclaration d'arme) que je n'ai pas retrouvé dans le fichier sous cette marque, mais sous la marque Gaucher, dont j'ai repris le N° RGA.

Et c'est effectivement un express gaucher

Je pourrai vous citer d'autres exemples avec le modèle dans une même marque qui ont commercialisé des séries spéciales

J'avoue que je connais moins les armes de poing

J'espère que j'ai répondu à vos questions

Cordialement

Jean Plé

Monsieur

Je vous remercie du site que vous m'avez transmis

Mais au vu des longueurs indiquées je pense que vous jouez sur les mots

Vous avez raison toutes les longueurs sont en millimètre, mais ce que vous ne disez pas c'est que toutes les longueurs se terminent par un zéro, ce qui veut dire que la précision est le centimètre

D'ailleurs la réglementation actuelle pour déterminer la classification de l'arme concernant les longueurs est au centimètre

Que ce soit la longueur du canon ou la longueur de l'arme

Le document que vous m'avez envoyé aurait pu être au micron il y aurait eu 4 zéros au lieu d'un c'était le même diagnostic

Cordialement

Jean Plé

Le domaine de l'industrie est vaste donc les unités de longueur vont du micron voire moins à l'année lumière, ce qui compte est ce qui est retenu par la réglementation, hors jusque maintenant c'est le centimètre

Bonjour Jean Plé,

j'ai l'impression qu'à 73 ans, tu es encore nostalgique du travail qui était le tien lorsque tu étais en activité.
Tu devrais décrocher, il y a d'autres plaisirs à prendre dans la vie. Sur ton autre post sur ce sujet, tu te permets de critiquer les professionnels de l'informatique qui ont développé le produit, et, sous prétexte de prétendues grade ou fonction assurées dans une société privée, tu tapes sur les fonctionnaires. J'étais, moi aussi, ingénieur et chef de service des systèmes d'information et de communication dans l'administration et tes réflexions stupides me touchent directement. L'administration fait avec ce dont elle dispose, et je pense que tu n'aurais pas pu y entrer car un critère essentiel est de s'exprimer en français sans faute d'orthographe.
Merci de prendre en compte mes remarques.
Cordialement,
FF82

Je ne critique pas les informaticiens, je critique l' absence d'analyse suffisante de process (qui n'est pas le travail de l'informaticien)

Désolé mais je n'ai jamais assuré de fonction dans l'informatique dans ma vie professionnelle, mais il est évident que l'objectif recherché était la suppression de "papiers" (ce qui est louable) mais que les objectifs principaux ne seront pas atteints.

exhaustivité du recensement (car des détenteurs vont laissé tomber) et c'est dommage

la localisation en temps réel, j'ai pu supprimer une arme de mon râtelier, sans qu'il m'était demandé le nouveau détenteur

les N° RGA attribués par le détenteur ne correspondent pas exactement à l'arme détenue (notamment pour le chambrage et les longueurs)car beaucoup d'armes ont été ajustées

Quant aux économies réalisées nous en reparleront dans 1 an mais j'ai beaucoup de doutes!

Plutôt que de me reprocher mes fautes d'orthographe (vous avez raison sur ce point) vous ne répondez pas sur le fond c'est à dire l'approche que j'ai proposée.

Car contrairement à ce que vous dites je ne me suis pas contenté d'apporter des critiques, j'ai proposé une approche qui aurait permis d'atteindre tous les objectifs, approche ne demandant pas des investissements faramineux.

Maintenant je ne suis pas un nostalgique de mon ancien travail, mais quand un projet me touche personnellement et m'apparaît éloigné des objectifs (je suis chasseur depuis un demi siècle), en tant que citoyen qui paie des impôts, je réagis.

Ce n'est en aucun cas une attaque contre les fonctionnaires, car dans le privé j'ai été confronté aux mêmes types d'erreur.(traduction sans analyse suffisante d'un process scriptural à un process numérique)

Je ne répondrai pas aux quasi injures tels que "réflexions stupides" ou "mon incapacité à entrer dans la fonction publique" car je ne considère pas ces termes comme des arguments.

Bonne journée Monsieur

L'homme qui a échoué au concours d'entrée de la fonction publique à cause de ses fautes d'orthographe

Monsieur

pour les armes neuves vous avez surement raison, mais pour toutes les armes en circulation vous êtes en dehors du coup

D'abord je ne suis pas un branquignol et tout ce que j'ai fait est avec l'assentiment de la préfecture

Donc si vous êtes professionnel, allez donc voir votre préfecture et le temps passant vous vous apercevrez qu'elles commencent à avoir une triste idée dans le traitement des armes sur le plan réglementaire que vous leurs avaient imposé

Bonne journée

J'ai donné à l'hôtel de police une arme pour destruction, il y a 1 mois

Je me suis étonné de voir que j'étais toujours détenteur de cette arme (présence dans le râtelier)

J'ai envoyé un mail à la préfecture en m'étonnant de la situation

Réponse il faut du temps

Je suis revenu au logiciel qui présente une fonction de correction pour une arme

J'ai déclaré que j'avais cédé cette arme, le logiciel ne m'a pas demandé à qui l'arme avait été cédée et l'arme a été supprimée de mon râtelier

Donc je suis à jour pour mon râtelier

Mais réflexion

Comment peut on supprimer une arme de son râtelier sans que l'administration connaisse la destination?

Normalement je n'aurais jamais du pouvoir faire cette opération si la personne recevant l'arme n'a pas un compte SIA

Le système aurait du transférer mon arme de mon râtelier vers le râtelier de la personne qui reçoit cette arme et qui doit obligatoirement avoir un compte SIA

J'ai signalé ce "bug" à la préfecture, car je ne veux pas que ce projet soit dévoyé par un manque d'analyse des informaticiens de la fonction publique

J'espère que nous n'avons pas fait appel à un consulting extérieur pour un problème aussi simple à résoudre

Dans mon cas j'avais encore sur mon compte deux fusils vendus depuis des années, je les ais supprimer très simplement comme tu le dit. Par chance, j'ai tous mes documents de cession d'armes, car je change souvent.

Donc, si on m'avais demandé des preuves, je les avais. Mais si je ne les ais pas, on fait comment????

Je pense que pour une fois, on ne peut pas reprocher à l'administration de faire les choses simplement, en nous faisans confiance sur nos déclarations sur l'honneur, sans nous demander une chié de papiers, faut positiver parfois

Je suis d'accord avec toi, çà nous arrange, mais à quoi bon créer un système inachevé où on est obligé de garder la preuve en papier qui indique le nouveau détenteur de l'arme.

Car si le nouveau détenteur ne prend pas un compte pour tout à temps de raison , l'arme a disparu pour l'administration, hors ce n'est pas le but

Toi comme moi nous suivons les procédures, mais ce n'est pas le cas de tout le monde

Dans l'état du logiciel un conseil garde tes documents de cession

Bonne journée

Bonjour je réponds à JP2

J'ai écrit "interface bricolé entre administration et détenteur" je n'ai pas écrit "interface bricolé entre administration et professionnels"

J'ai lu et écouté la présentation qui est faite sur https://mobile.interieur.gouv.fr/Le-min…-numerique

Merci de l'avoir envoyée

Je ne trouve rien à redire dans l'interface.

Car l'explication est carrée et répond sur les conditions d'une demande d'un nouveau N° RGA en introduisant des tolérances notamment sur les longueurs.

Mais ce n'est pas le même logiciel que l'on a "balancé" aux détenteurs sans indications des tolérances.

D'où la difficulté de trouver son N° RGA

Moi j'ai interprété, quand je ne trouvais pas exactement l'arme dans le fichier en indiquant cette interprétation à la préfecture et je n'ai jamais engagé la procédure d'un nouveau RGA

Je n'ai eu aucun retour de la préfecture, j'en ai déduit que mes choix convenaient à l'administration, y compris quand j'ai pu supprimer une arme de mon râtelier sans indiquer le nouveau détenteur, préfecture qui était satisfaite que j'ai pu trouver la solution. J'ai même écrit à la préfecture que je trouvais cette possibilité anormale si le but du projet est d'avoir une connaissance en temps réel de la localisation des armes.

Où l'administration fait une interface sérieuse avec les détenteurs
Où elle dit au détenteur vous devez passer par un professionnel pour établir votre râtelier numérique, dans la mesure où les professionnels ne demanderont pas une rémunération pour faire ce travail

Jean Plé