Auteur traque infos

Y a aussi le balle de cou qui sèche net .
Adrien 1 partout .

Salut,
oh mince... j'arrive trop tard
Je gagnerais rien moi...
Amicalement

salut,

wawa80 a écrit:Y a aussi le balle de cou qui sèche net .
Adrien 1 partout .

aie aie moi je préfère nettement un balle de poitrine qui tue le gibier net la balle de cou le sèche certes mais le tue pas forcément après faut utiliser la dague...(je parle bien sur en connaissance de causes)

Bon aller je partage mon lots faudras couper la tringle!!!

@micalement,
Adrien

Tout d'abord, une mauvaise nouvelle:

Mon fournisseur de tringles vient de délocaliser sa production en Mongolie extérieure, il ne faut pas vous attendre à une livraison rapide (8000 bornes, faut les tailler, surtout à dos d'âne...).
Many thanks pour la réponse, et tant qu'on y est:
Y-a-t-il quelque chose de comestible dans la tête du cochon?

LeC.

Adrien a écrit:salut,

wawa80 a écrit:Y a aussi le balle de cou qui sèche net .
Adrien 1 partout .

aie aie moi je préfère nettement un balle de poitrine qui tue le gibier net la balle de cou le sèche certes mais le tue pas forcément après faut utiliser la dague...(je parle bien sur en connaissance de causes)

Bon aller je partage mon lots faudras couper la tringle!!!

@micalement,
Adrien

ben là Adrien je peux te rassurer, que SI tu touche le cou tu peut-être sûre que tu n'as plus besoin de daguer......dans le cou se trouvent la colonne vertébrale, les artères. les veines et tout les "files de transmissions" cerveau - corps y passent (nerfs)....alors imagine toi, soit tu touche le cou ou soit tu le loupe...alors si tu arrive, tire sur le cou

salut,

Philippe a écrit:
ben là Adrien je peux te rassurer, que SI tu touche le cou tu peut-être sûre que tu n'as plus besoin de daguer......dans le cou se trouvent la colonne vertébrale, les artères. les veines et tout les "files de transmissions" cerveau - corps y passent (nerfs)....alors imagine toi, soit tu touche le cou ou soit tu le loupe...alors si tu arrive, tire sur le cou

Non je ne suis pas d'accord avec toi!!!!! Tu a vu le coup d'un sanglier?? il n'y a pas que la colonne !!! d'une part en tirant dans le cou tu peux juste le saigner ok il va mourir...mais il va encore courir..Et attention sa va saigner est chez moi ce n'est pas un balle propre....Et la question n'est pas si une balle de coup est mortel (certes elle est!!! ) mais qu'elle est la balle la plus propre....Donc pour moi c'est une balle de poitrine!! Et je t'assure que moi mon sanglier je lui est mit un balle de cou s'est sur il est tomber net mais arriver sur place il était vivant....et donc pour éviter de faire souffrir un animal le mieux est d'utiliser la dague!!! C'est mon avis....

Pour répondre a la derniéres question de Lec je pense qu'il y a la cervelle et aussi les joues enfin oui je pense!!

@micalement,
Adrien

Cela vous paraît-il sonner juste à vos cynégétiques oreilles?

Il se tenait de profil, immobile en pleine lumière, et le soleil allumait des reflets cendre dans le pelage de son échine. J’affirmai mes prises sur le corps de l’arme, et glissai mon index dans la gâchette, expirant doucement avant d’interrompre totalement ma respiration, en apnée absolue. Je goûtai l’instant, admirant les dernières secondes de la bête magnifique qui mâchonnait là-bas, ne se doutant de rien, et surtout pas de la mort qui allait voler vers elle. Le sanglier sentit quelque chose, et releva brusquement la tête, les naseaux dilatés humant le vent. Je positionnai la visée pour que la balle pénètre juste au-dessus du défaut de l’épaule afin d’atteindre le cœur, et pressai la détente. La détonation explosa le silence. Le cochon avait bougé de quelques centimètres, mais je vis nettement la masse sombre de son corps s’ébranler à l’impact, puis s’affaisser vers l’avant, avant de chuter lourdement d’un coup sur le tapis de feuilles. Je posai le Remington puis saisis les jumelles. La tâche noire de la bête reposait sur le sol. Je vérifiai que je portais bien le Bowie à ma ceinture, repris la carabine, puis descendis les degrés de l’échelle qui me menèrent au pied du mirador. J’avançais lentement, tenant la carabine à l’horizontale contre ma poitrine. J’étais à peu près certain de l’avoir séché net, mais un doute subsistait toujours, et je connaissais la capacité d’un sanglier à rassembler ses dernières forces pour charger le chasseur imprudent se dirigeant vers ce qu’il croyait être une dépouille inoffensive. Une seconde balle attendait dans le canon, au cas où. Je parcourus les presque cent mètres qui me séparaient de ma prise, en faisant attention où je mettais les pieds, pour éviter de me ramasser avec le fusil chargé. Quand j’arrivai au pied du chêne où était censée se trouver la dépouille, je ne trouvai rien. Je crus d’abord que mes repères pris du haut du mirador étaient mauvais, et je balayais les alentours du regard. Mais le cochon n’était nulle part visible. Je m’accroupis pour examiner le sol, jetant des coups d’œil rapides autour de moi. Le cochon était un animal plein de malice, capable de venir me chatouiller le postérieur d’un coup de bélier puissant. Les feuilles mortes présentaient des traces de sang. Plusieurs petites, puis une plus large à environ vingt centimètres des précédentes. Il s’était relevé, et s’était enfui, le salopard. Je constatai que les éclaboussures de sang prenaient le chemin de l’orée du bois, et entrepris de les suivre. Les auréoles se faisaient plus larges, et j’observai qu’il devait tituber sous l’effet de l’hémorragie, car je trouvai une longue traînée de couleur rouge sur le tronc d’un saule, à une quarantaine de centimètres du sol. Je maintenais tous mes sens en éveil, redoutant de le voir débouler dans un ultime effort pour me blackbouler anté-mortem. Cocasse retournement de situation – pensai-je. Il y a cinq minutes, j’étais Dieu Tout-Puissant, avec le tonnerre entre mes mains, et à présent je redoutais un dernier raid de l’animal subclaquant, mais encore suffisamment enragé pour m’estropier sérieusement. Mais les marques de saignement se multipliaient. J’accélérai le pas, l’adrénaline pulsant dans mes artères. Je finis par apercevoir le bestiau, affalé dans un effondrement du terrain dans lequel il avait dû perdre l’équilibre, et ne plus parvenir à se relever. Il était allongé sur le côté, respirant faiblement. Il était magnifique, largement soixante kilos, voire soixante-dix, et son petit oeil noisette me regardait en clignant longuement sous l’effet de la léthargie qui envahissait son organisme privé de sang. Je m’accroupis auprès de lui en lui caressant la tête. Je constatai que la balle avait pénétré en peu plus à droite de l’endroit visé, ratant le cœur et déclenchant l’hémorragie. L’animal soufflait, tentant d’emplir ses poumons que le fluide vital envahissait. Du sang sourdait entre ses dents, près de son groin luisant. Son pelage était dru sous mes doigts, et je commençai à lui parler à voix basse.
- Je suis un vrai con, partner… Désolé de t’avoir fait souffrir. C’est terminé maintenant… C’est la fin du voyage, big boy…
Son iris était fixé sur moi, et son lourd poitrail se soulevait au rythme de sa déclinante respiration. Je sortis le Bowie de mon étui de ceinture, appliquai la pointe de la lame à l’arrière de l’oreille de la bête, puis le daguai profondément, sectionnant l’artère. Le corps musculeux du cochon fut parcouru d’un ultime spasme, son œil se révulsa, puis la masse se détendit soudainement, plongeant dans la mort.
- Vaya con Dios – dis-je.

LeC.

salut,


LOOOL on s'y croirait!! en tout cas très jolie résumer!!!!
Bravo toi!!
Une chose a dire pour la séance ou tu prend la dague tu devrait peut être le daguer en pleins coeur et la il tombe d'un coup....enfin je sais pas attendons l'avis des autres...Moi en tout cas en réalité je le dague en pleins coeur!!
Et on dit la Remington ou le Remington moi je voterais pour la..


@micalement,
Adrien

Thanks. Pour la Remington, tu as sans doute raison, je modifie derechef.
Pour l'aorte, je te suis, attendons l'avis du reste de collége d'experts.
Merci encore de votre collaboration, la véracité est à ce prix.

LeC.

Salut*
dans le cochon tout est bon de la queue au menton ....et ben pour le sanglier c'est pareil!!!la tete de sanglier c'est excellent surtout quand c'est notre président qui la prépare
courage pour le bouquin

D'un sens belle histoire, de l'autre sens le language........no comment..........d'après moi le sanglier n'est pas un salopard ni un bestiau.........je pense que le choix des mots doivent également faire partie de l'éthique de chasse....... .......le sanglier et Cie. est une éspece noble!!!!

Oui Phil a raison le langage m'a un peu foutu sur le cul aussi
pour les mot employé comme l'a dit Phil mais aussi pour les changement de registre incessant ça sonne bizard...
a coriger un peu quand meme

Allons messieurs, nous sommes dans un policier, pas dans un compte-rendu de colloque de dames patronesses, ni dans une brochure pro-chasse.
Mais bon. Un bestiau n'est pas péjoratif, mais désigne un animal ( de bestial, qui a rapport à la bête) de grande taille, et le cochon me paraît répondre à ce critère, non?
Quant au salopard, il s'agit d'un mot affectueux, à replacer dans le contexte.
Un chasseur qui “accompagne“ la bête dans ses derniers moments, qu'il écourte afin de faire cesser la souffrance, et qui recommande son âme à Dieu, ne peut pas être tout à fait cruel...
Je vous remercie néanmoins de votre précieuse aide.
It's only rock'n roll, podnas.

LeC.

salut,

En effet un cochon est un bestiau mais pas un sanglier!!!!
Je n'aime pas entendre un sanglier se faire appeler cochon car s'en est pas un!!!

@micalement,
Adrien

Salut,
moi je suis les autres un ou 2 mots serait a modifié mais maintenant le choix revient a l'auteur.
Pour se qui est du cou de dague, je suis tous a fais d'accord avec Adrien en plein coeur c'est mieux...

Bon allez bon chance pour la fin de ton livre...

AMicalement

P.S: c'est la remington...

Je sais pour moi on dague au coup mais bon je n'y connais pas grand chose au sanglier...

Salut,
oui mais au cou c'est un peu plus barbare que de le daguer au coeur direct...
Tu verra si un jour tu vois quelqu'un daguer au coeur tu verra que c'est moins barbare...
Amicalement

salut,

En effet c'est nettement moins barbare....Le daguer au coup pour moi c'est une sorte d'ancienne méthode qui faut oublier...

@micalement,
Adrien