Fob sweet Cooper et fusil non éprouvé

Mer 29 Mar 2023 - 22:12

Bonsoir,

Je viens de voir sur deux sites marchands différents que l’on peut tirer de la fob sweet Cooper 34 Hp dans n’importe quel fusil même non éprouvé billes d’acier.Je chasse la palombe sur des postes qui imposeront d’utiliser du substitut et j’ai un vieux Beretta chokes fixe full en 81cms ,je pensais prendre mon sporting qui lui est éprouvé mais si je peux tirer de la fob je garderai par nostalgie le premier.
Si quelqu’un peut m’éclairer je vous en remercie

Ps: j’ai vu l’info contraire sur un autre

C'est vrai qu'en cette période d'incertitude on peut voir tout et son contraire.
Toutefois, la grenaille de cuivre doux (!) est classée "dure" avec l'acier et le tungstène, elle nécessite une bourre de type "acier"...
Donc, ton Beretta ne devrait pas pouvoir tirer ce type de munitions, de plus il est choké full ce qui, même avec du bismuth nécessitera un déchokage.

Raphael13 a écrit:C'est vrai qu'en cette période d'incertitude on peut voir tout et son contraire.
Toutefois, la grenaille de cuivre doux (!) est classée "dure" avec l'acier et le tungstène, elle nécessite une bourre de type "acier"...
Donc, ton Beretta ne devrait pas pouvoir tirer ce type de munitions, de plus il est choké full ce qui, même avec du bismuth nécessitera un déchokage.

Je ne pense vraiment pas que le bismuth nécessite un déchokage du fusil.

Bonjour les amis,

Je vois qu'en matière de substituts, on mélange un peu tout ! Alors essayons de faire le point sur le cuivre et le bismuth, d'après ce que nous connaissons aujourd'hui.
Pour les cartouches de cuivre doux, il y a les "basses" et les "hautes pressions". Le cuivre est donc considéré comme l'acier en dureté de bille. Il faut lire "haute et basse pression au passage du choke" et non en déduite une différence de vitesse de la gerbe qui est réglée dans le deux cas à 430m/s à 2.50m de la bouche du canon (norme CIP). Vous comprendrez aisément pourquoi les cartouches "basse pression" ont des numéros de grenaille de 4 et en dessous, et les "hautes pression" sont en 3 et au-dessus. Le choke maximum à utiliser est le demi-choke, si celui-ci mesure de 45 à 70mm. Le plein choke est possible, SI ET SEULEMENT SI CELUI-CI MESURE DE 82 A 92MM, puisque la rampe du choke est ainsi très adoucie.
Si je me réfère aux préconisations de VOUZELAUD qui est un professionnel de la cartouche chargée, les cartouches "basse pression" sont tirables dans tous les fusils chokés 1/2 choke avec billes infarieures au n° 3 en calibre 12 et inférieure à 4 en calibre 20.
Le bismuth, durci par une part d'étain, est considéré aussi malléable que le plomb. Donc il est tirable dans toutes les armes quel que soit le choke, et avec les même bourres grasses et à jupe et godet spécifiques au chargement du plomb...La seule différence de taille est que la cartouche est tarifée à 2.50 € pièce. Pour les rechargeurs, le kilo d'acier ou de plomb durci est environ de 7 € et le bismuth est à ...33 € le kilo.
J'espère avoir éclaici les idées car il est plus que temps de préparer la nouvelle saison avec la nouvelle loi sur les zônes humides limitée à 100 mètres autour d'un point d'eau, QUEL QU'IL SOIT. Attention, dans ces zônes le port de cartouches "plombs" est interdit et des contrôles seront effectués... Amicalement.

zônes humides limitée à 100 mètres autour d'un point d'eau, QUEL QU'IL SOIT. Attention, dans ces zônes le port de cartouches "plombs" est interdit et des contrôles seront effectués... Amicalement.
à ce sujet, dernièrement en AG j'ai posé cette question au chef de service OFB de l'Ain qui est sociétaire chez moi : (question): je me rends sur mon secteur de chasse qui n'est pas soumis à la grenaille sans plomb mais je dois passer pour atteindre cette zone à moins de 100ml d'un point d'eau, bien sur fusil ouvert et non alimenté, tu me contrôles, comment çà se passe (je ne fais pas acte de chasse) ? (réponse) : ben, heu... (j'insiste) ah...tout n'est pas encore très défini (joli saut sur le coté!!!!), peut-être un jour je saurais....

Si un jour tu sais chris01 Fob sweet Cooper et fusil non éprouvé Siffle

tu nous le diras STP Fob sweet Cooper et fusil non éprouvé Content

Voyons chers amis, tout est limpide !

Je suis agent de l’O.F.B. et je fais consciencieusement mon boulot.

Je croise @Horace2002 sur le chemin qui serpente à 99 mètres de notre « caniveau » local.
Je contrôle donc notre ami qui obtempère avec amabilité, ce qui lui épargne la fouille à corps.
Horace encartouche lui-même et porte sur lui une cinquantaine d’étuis chargés sans indications particulières.
Par conscience professionnelle, je ne peux me fier à ses seules déclarations, je dois envisager toutes les polissonneries possibles : charges de plomb totales ou partielles, alliages divers compris. Je désopercule donc l’ensemble des munitions, place chaque charge dans un sachet individuel scellé en présence de l’intéressé, reporte sur mon procès-verbal l’ensemble des références que je transmettrai dès que possible au Service des explosifs pour analyse.
Dans des délais raisonnables Horace, au même titre que les milliers d’individus contrôlés, sera informé de la suite donnée par l’Administration.
C.Q.F.D.

Très bonne analyse de Kerviloti, texte inapplicable en l’état, encore une fois nos écolo bobos on fait preuve d’un manque de réflexion évident

chris01 a écrit: zônes humides limitée à 100 mètres autour d'un point d'eau, QUEL QU'IL SOIT. Attention, dans ces zônes le port de cartouches "plombs" est interdit et des contrôles seront effectués... Amicalement.
à ce sujet, dernièrement en AG j'ai posé cette question au chef de service OFB de l'Ain qui est sociétaire chez moi : (question): je me rends sur mon secteur de chasse qui n'est pas soumis à la grenaille sans plomb mais je dois passer pour atteindre cette zone à moins de 100ml d'un point d'eau, bien sur fusil ouvert et non alimenté, tu me contrôles, comment çà se passe (je ne fais pas acte de chasse) ? (réponse) : ben, heu... (j'insiste) ah...tout n'est pas encore très défini (joli saut sur le coté!!!!), peut-être un jour je saurais....

Bonjour,
La réponse est dans le paragraphe 19 du texte officiel,

C'est à toi de démontrer que tu n'as pas l'intention de chasser dans la zone humide.

ERIC29 a écrit:Très bonne analyse de Kerviloti, texte inapplicable en l’état, encore une fois nos écolo bobos on fait preuve d’un manque de réflexion évident

Inapplicable, pas sur,

Les agents de répression ne se posent pas autant de questions que nous...

Ce type de texte doit être à minima accompagné d’une circulaire d’application qui pour le moment n’est pas sortie , peut être que sa rédaction n’est pas si évidente que cela Wink

Ok,
Alors les discussions que j'ai entendues vers chez moi devaient être au conditionnel.

Bonsoir les amis,

Je savais que mon apparté sur la nouvelle loi ferait des commentaires...D'abord, un écologiste ne réfléchit pas il affirme ses théories surannées. La question que je poserai certainement aux membres de ma fédération est : comment contrôlez-vous un chasseurs qui vient de chasser en plaine avec des munitions au plomb, et veut faire la bordure de l'étang de la commune ou le bord de la rivière, avec arme chargée avec des munitions acier ? Que doi-il faire de ses cartouches "plomb" ? Les jeter dans un fossé, les planquer dans un fourré pour les récupérer (peut-être) plus tard ? Ou doit-il les porter dans sa cartouchière avec l'espoir d'éviter le PV ? Comment se fait-il que personne ne fait confiance au chasseur et à son honnêteté ? Qui cherche à nous ficher tous au FINIADA ? C'est quand même un comble ! Cette histoire va semer la zizanie dans les associations de chasse si les gardes eux-mêmes ne savent plus quoi faire et dans quel cas ! Voilà ce qui arrive quand on fait confiance à des personnes qui n'entendent rien à la pratique de la chasse... Et encore ils veulent qu'on les prenne au sérieux : ah elle est belle la politique ! Amicalement.

Merci à Gege pour cette explication très claire, en effet, l'emploi de grenaille de bismuth ne nécessite pas de déchokage des canons (idem pour le zinc-étain) et, semble t'il pour le tungstène matrix , ça m'a étonné mais m'a été confirmé par Rizzini.

Autre sujet (qui devrait être traité à part): le contrôle du port de cartouches au plomb dans les zones d'interdiction.
Cela parait exorbitant du droit dans la mesure où toute personne doit être considérée innocente jusqu'à preuve du contraire.
En l'état, cette nouvelle loi fera la joie des avocats !
Question: un agent de l'OFB peut il procéder à une fouille au corps ? A-t'il la qualité d'OPJ ?
Et les zones humides ? Définition exacte ? Il semblerait que le ministère de l'environnement italien ait défini de façon plus restreinte cette notion.
Qui a des informations à ce sujet ?

Les Inspecteurs de l'Environnements des cat. A et B ont, dans un carde restreint les compétences d'un OPJ (Art. 28-3 du Code de Procédure Pénale).

""""""""""""""""""
Art. 28-3 (L. no 2020-1672 du 24 déc. 2020, art. 19)

I. — Des inspecteurs de l'environnement de catégorie A et B compétents pour la recherche et la constatation des infractions portant atteinte à l'environnement en application de l'article L. 172-1 du code de l'environnement affectés à l'Office français de la biodiversité, spécialement désignés par arrêté conjoint du ministre de la justice et du ministre chargé de l'environnement, pris après avis conforme d'une commission dont la composition et le fonctionnement sont déterminés par décret en Conseil d'État, disposent, pour les enquêtes judiciaires qu'ils diligentent sur réquisition du procureur de la République ou sur commission rogatoire du juge d'instruction, des mêmes prérogatives et obligations que celles attribuées aux officiers de police judiciaire, y compris lorsque ces prérogatives et obligations sont confiées à des services ou unités de police ou de gendarmerie spécialement désignés.

Pour les délits prévus à l'article L. 415-6 et au VII de l'article L. 541-46 du même code, ces inspecteurs ne sont compétents que lorsqu'ils concourent à la réalisation d'une même enquête avec des officiers et agents de police judiciaire ou des agents des douanes mentionnés à l'article 28-1 du présent code.
Pour l'exercice des missions prévues au présent article, ils ont compétence sur l'ensemble du territoire national.
Ils sont autorisés à déclarer comme domicile l'adresse de leur résidence administrative.

II. — Les inspecteurs de l'environnement désignés dans les conditions prévues au I sont habilités personnellement en vertu d'une décision du procureur général.

III. — Les inspecteurs de l'environnement habilités dans les conditions prévues au II du présent article sont placés exclusivement sous la direction du procureur de la République, sous la surveillance du procureur général et sous le contrôle de la chambre de l'instruction du siège de leur fonction dans les conditions prévues aux articles 224 à 230.

IV. — Les inspecteurs de l'environnement habilités dans les conditions prévues au II du présent article ne peuvent, à peine de nullité, exercer d'autres attributions ou accomplir d'autres actes que ceux prévus par le présent code dans le cadre des faits dont ils sont saisis par le procureur de la République ou toute autre autorité judiciaire.

Ndlr: les inspecteurs de l’environnement sont dénommés officiers judiciaires de l’environnement (C. pr. pén., art. R. 15-33-29-18). Plus généralement, concernant les modalités de désignation de ces officiers judiciaires de l'environnement, ainsi que les conditions de leur habilitation et de leur notation, V. art. R. 15-33-29-18 s.
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CZ

Une petite question que valent ces cartouches basse pression pour fusil non éprouvé ?

[quote="CZ452"]Les Inspecteurs de l'Environnements des cat. A et B ont, dans un carde restreint les compétences d'un OPJ (Art. 28-3 du Code de Procédure Pénale).

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Art. 28-3 (L. no 2020-1672 du 24 déc. 2020, art. 19)

I. — Des inspecteurs de l'environnement de catégorie A et B compétents pour la recherche et la constatation des infractions portant atteinte à l'environnement en application de l'article L. 172-1 du code de l'environnement affectés à l'Office français de la biodiversité, spécialement désignés par arrêté conjoint du ministre de la justice et du ministre chargé de l'environnement, pris après avis conforme d'une commission dont la composition et le fonctionnement sont déterminés par décret en Conseil d'État, disposent, pour les enquêtes judiciaires qu'ils diligentent sur réquisition du procureur de la République ou sur commission rogatoire du juge d'instruction, des mêmes prérogatives et obligations que celles attribuées aux officiers de police judiciaire, y compris lorsque ces prérogatives et obligations sont confiées à des services ou unités de police ou de gendarmerie spécialement désignés.

Pour les délits prévus à l'article L. 415-6 et au VII de l'article L. 541-46 du même code, ces inspecteurs ne sont compétents que lorsqu'ils concourent à la réalisation d'une même enquête avec des officiers et agents de police judiciaire ou des agents des douanes mentionnés à l'article 28-1 du présent code.
Pour l'exercice des missions prévues au présent article, ils ont compétence sur l'ensemble du territoire national.
Ils sont autorisés à déclarer comme domicile l'adresse de leur résidence administrative.

II. — Les inspecteurs de l'environnement désignés dans les conditions prévues au I sont habilités personnellement en vertu d'une décision du procureur général.

III. — Les inspecteurs de l'environnement habilités dans les conditions prévues au II du présent article sont placés exclusivement sous la direction du procureur de la République, sous la surveillance du procureur général et sous le contrôle de la chambre de l'instruction du siège de leur fonction dans les conditions prévues aux articles 224 à 230.

IV. — Les inspecteurs de l'environnement habilités dans les conditions prévues au II du présent article ne peuvent, à peine de nullité, exercer d'autres attributions ou accomplir d'autres actes que ceux prévus par le présent code dans le cadre des faits dont ils sont saisis par le procureur de la République ou toute autre autorité judiciaire.

Ndlr: les inspecteurs de l’environnement sont dénommés officiers judiciaires de l’environnement (C. pr. pén., art. R. 15-33-29-18). Plus généralement, concernant les modalités de désignation de ces officiers judiciaires de l'environnement, ainsi que les conditions de leur habilitation et de leur notation, V. art. R. 15-33-29-18 s.
bien gentil ces super arrêtés et règlements (beaucoup en comprennent le sens ?) mais, qu'en est-il de l'action d'un agent OFB dans le cadre d'une situation que je cite plus haut :"passage à moins de 100m d'un plan d'eau sans grenaille sans plomb, avec arme ouverte et (ou) non approvisionnée, (passage obligé pour me rendre dans un secteur de chasse où le plomb est autorisé) devra-t-il sanctionner ou juger qu'il n'y a pas faute ? (tout dépend de l'humeur de l'agent?????)

chris01 a écrit:

CZ452 a écrit:Les Inspecteurs de l'Environnements des cat. A et B ont, dans un carde restreint les compétences d'un OPJ (Art. 28-3 du Code de Procédure Pénale).

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Art. 28-3 (L. no 2020-1672 du 24 déc. 2020, art. 19)

I. — Des inspecteurs de l'environnement de catégorie A et B compétents pour la recherche et la constatation des infractions portant atteinte à l'environnement en application de l'article L. 172-1 du code de l'environnement affectés à l'Office français de la biodiversité, spécialement désignés par arrêté conjoint du ministre de la justice et du ministre chargé de l'environnement, pris après avis conforme d'une commission dont la composition et le fonctionnement sont déterminés par décret en Conseil d'État, disposent, pour les enquêtes judiciaires qu'ils diligentent sur réquisition du procureur de la République ou sur commission rogatoire du juge d'instruction, des mêmes prérogatives et obligations que celles attribuées aux officiers de police judiciaire, y compris lorsque ces prérogatives et obligations sont confiées à des services ou unités de police ou de gendarmerie spécialement désignés.

Pour les délits prévus à l'article L. 415-6 et au VII de l'article L. 541-46 du même code, ces inspecteurs ne sont compétents que lorsqu'ils concourent à la réalisation d'une même enquête avec des officiers et agents de police judiciaire ou des agents des douanes mentionnés à l'article 28-1 du présent code.
Pour l'exercice des missions prévues au présent article, ils ont compétence sur l'ensemble du territoire national.
Ils sont autorisés à déclarer comme domicile l'adresse de leur résidence administrative.

II. — Les inspecteurs de l'environnement désignés dans les conditions prévues au I sont habilités personnellement en vertu d'une décision du procureur général.

III. — Les inspecteurs de l'environnement habilités dans les conditions prévues au II du présent article sont placés exclusivement sous la direction du procureur de la République, sous la surveillance du procureur général et sous le contrôle de la chambre de l'instruction du siège de leur fonction dans les conditions prévues aux articles 224 à 230.

IV. — Les inspecteurs de l'environnement habilités dans les conditions prévues au II du présent article ne peuvent, à peine de nullité, exercer d'autres attributions ou accomplir d'autres actes que ceux prévus par le présent code dans le cadre des faits dont ils sont saisis par le procureur de la République ou toute autre autorité judiciaire.

Ndlr: les inspecteurs de l’environnement sont dénommés officiers judiciaires de l’environnement (C. pr. pén., art. R. 15-33-29-18). Plus généralement, concernant les modalités de désignation de ces officiers judiciaires de l'environnement, ainsi que les conditions de leur habilitation et de leur notation, V. art. R. 15-33-29-18 s.

bien gentil ces super arrêtés et règlements (beaucoup en comprennent le sens ?) mais, qu'en est-il de l'action d'un agent OFB dans le cadre d'une situation que je cite plus haut :"passage à moins de 100m d'un plan d'eau sans grenaille sans plomb, avec arme ouverte et (ou) non approvisionnée, (passage obligé pour me rendre dans un secteur de chasse où le plomb est autorisé) devra-t-il sanctionner ou juger qu'il n'y a pas faute ? (tout dépend de l'humeur de l'agent?????)

https://www.snafam.org/2022/10/04/les-zones-humides-redefinition-au-15-fevrier-2023-les-fabricants-et-importateurs-ont-ils-lieu-detre-inquiets/
Cet article, sans aucun caractère officiel, pose et tente de répondre à ,que et comment faire ou ne pas faire, étant porteur de munitions plomb dans les zones humides et cette bande de 100m.
Joli casse-tête en perspective avec la fameuse "interprétation" et l'éventuelle bonne foi et surtout comment la prouver???.

renard81jm a écrit:Une petite question que valent ces cartouches basse pression pour fusil non éprouvé ?

je tir des vouzelaud atout acier basses pression en bille de 4. Ça va pas trop mal jusqu'à 35m.

Kerviloti a écrit:Voyons chers amis, tout est limpide !

Je suis agent de l’O.F.B. et je fais consciencieusement mon boulot.

Je croise @Horace2002 sur le chemin qui serpente à 99 mètres de notre « caniveau » local.
Je contrôle donc notre ami qui obtempère avec amabilité, ce qui lui épargne la fouille à corps.
Horace encartouche lui-même et porte sur lui une cinquantaine d’étuis chargés sans indications particulières.
Par conscience professionnelle, je ne peux me fier à ses seules déclarations, je dois envisager toutes les polissonneries possibles : charges de plomb totales ou partielles, alliages divers compris. Je désopercule donc l’ensemble des munitions, place chaque charge dans un sachet individuel scellé en présence de l’intéressé, reporte sur mon procès-verbal l’ensemble des références que je transmettrai dès que possible au Service des explosifs pour analyse.
Dans des délais raisonnables Horace, au même titre que les milliers d’individus contrôlés, sera informé de la suite donnée par l’Administration.
C.Q.F.D.

Bon, j'ai mis du temps à réagir ! Mais mieux vaut tard que jamais.
Une question, comment sais-tu, avec précision, que @Horace2002 est à 99 m du "caniveau local" et non à 100 m, voire 101 m ? Et où prend-t'on la mesure: bord du caniveau ? bord de l'eau ? Quel instrument utilise un agent de l'OFB ? Est-il soumis à des règles de vérification de la précision ? Voilà bien des sources de conflits sans fin. Il doit bien exister des marges de tolèrance comme dans les contrôle de vitesse des véhicules ?

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