Ours : attaque de randonneurs dans les pyrénées.

Bonjour à toutes et tous.

Avec l'article ci-dessous de la dépêche du midi, nous ne sommes pas loin de l'accident que nous redoutons tous avec la ré-introduction des grands prédateurs.

Il faudrait peut-être que des associations de protection des humains portent plainte contre X. Je ne plaisante pas, dans la mesure où deux nouvelles ré-introductions sont prévues cette année !!!

Cordialement,
FF82


Actualité   Grand Sud   Haute-Garonne   Melles
Publié le 25/06/2018 à 19:05, Mis à jour le 26/06/2018 à 07:27

Chargés par une ourse dans les Pyrénées, deux randonneurs toulousains racontent
Ours des Pyrénées
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Paul et sa chienne Jam quelques minutes avant leur rencontre avec une ourse, à Melles en Haute-Garonne. / Photo Vincent Mayoux
Paul et sa chienne Jam quelques minutes avant leur rencontre avec une ourse, à Melles en Haute-Garonne. / Photo Vincent Mayoux
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Vincent Mayoux, 55 ans, et son fils Paul, 22 ans, des randonneurs aguerris, se souviendront longtemps de ce jeudi 21 juin 2018. Au premier jour d’un de ces week-ends père-fils qu’ils affectionnent, les deux Toulousains ont croisé la route d’une ourse et de ses deux petits, au lieu-dit Labach, sur la commune de Melles, en Haute-Garonne. Peu avant, ils s’étaient arrêtés au mémorial de l’ours, dans cette bourgade proche de Saint-Béat, où avait débuté le programme de réintroduction de l’ours dans les Pyrénées, en 1996.


« Nous avons commencé l’ascension vers une cabane, un peu plus haut, la cabane Melloux, nous a raconté Vincent ce lundi, par téléphone. Il était 18 heures environ. Le paysage ? Une forêt, mais assez dégagée, avec vue claire à ce moment-là. Nous étions accompagnés de notre chienne Jam, un berger belge. » La cabane Melloux, est à un peu plus d’une heure de marche. Une balade tranquille pour les deux randonneurs. Mais tout à coup, alors que la pente est déjà assez prononcée, Jam commence à aboyer.

« Elle nous chargeait »
« Elle se met à courir devant nous. À deux reprises, j’ai alors entendu des grognements, reprend Vincent. J’ai immédiatement pensé à un sanglier. Puis Jam est revenue près de moi. Mon fils, qui était quelques mètres devant, m’a alors crié que c’était un ours. Il l’avait vu, pas moi. Pas encore. En une fraction de seconde, j’ai évalué la situation. On ne pouvait pas descendre la pente à pic, on ne pouvait pas grimper aux arbres non plus, avec nos sacs sur le dos. Et là, j’ai vu l’ours qui courait vers nous, avec deux petits derrière elle. Elle nous chargeait. Clairement. Je ne faisais vraiment pas le malin. Subitement, à 30 m environ, elle s’est arrêtée. Et elle est repartie, avec ses deux petits. Tout est allé très vite, à peine une vingtaine de secondes entre les aboiements de Jam et la fin de notre "rencontre". »

La rencontre a eu lieu sur le chemin de la cabane Melloux, au-dessus de Melles.

Cliquez pour agrandir l'image


L’Office national de la chasse et de la faune sauvage a relevé quatre cas d’attaque d’un ours sur un homme sur la période 1996-2010 dans une étude parue en 2011. À chaque fois, c’était une femelle qui voulait défendre ses petits.

Ourse, louve, bientôt quoi ? madame chacal doré ?... nous jouons avec le feu !
Continuons à subir ainsi la réintroduction d'animaux potentiellement dangereux, eux ils se gavent de subventions pour se payer grassement sur le dos des contribuables et nous on restera à la maison sous peine de se faire déchiqueter à vif.
Tant que ce ne sont que les brebis qui trinquent, ça les fait bien rigoler les escrolos, les éleveurs n'ont qu'à se plier aux diktats imposés par leur immense conn...ie, lorsqu'il y aura mort d'homme ou d'enfants ce sera une autre affaire... mais les imbéciles se retrancheront derrière les autorisations données par copinage politico-sensibles et les journaleux feront les grasses pages jetées à la populasse.
Il est bien loin le temps du raisonnable et de la sagesse de notre ruralité, il est peut-être temps de reprendre la Bastille !

Oui mais la Bastille elle s'est prise avec les mains pas avec des mots. Alors c'est pas gagne. Parceque pour faire bouger le francais, tant qu'il a a bouffe et un certain petit confort, c'est chose impossible.
Il rale certe, mais pour agir.........

barbu13 a écrit:Oui mais la Bastille elle s'est prise avec les mains pas avec des mots. Alors c'est pas gagne. Parceque pour faire bouger le francais, tant qu'il a a bouffe et un certain petit confort, c'est chose impossible.
Il rale certe, mais pour agir.........

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Comme disait un homme politique : des veaux ! ! !

Jean-Paul13 a écrit:Ourse, louve, bientôt quoi ? madame chacal doré ?... nous jouons avec le feu !
Continuons à subir ainsi la réintroduction d'animaux potentiellement dangereux, eux ils se gavent de subventions pour se payer grassement sur le dos des contribuables et nous on restera à la maison sous peine de se faire déchiqueter à vif.
Tant que ce ne sont que les brebis qui trinquent, ça les fait bien rigoler les escrolos, les éleveurs n'ont qu'à se plier aux diktats imposés par leur immense conn...ie, lorsqu'il y aura mort d'homme ou d'enfants ce sera une autre affaire... mais les imbéciles se retrancheront derrière les autorisations données par copinage politico-sensibles et les journaleux feront les grasses pages jetées à la populasse.
Il est bien loin le temps du raisonnable et de la sagesse de notre ruralité, il est peut-être temps de reprendre la Bastille !

Rien à ajouter, on en est malheureusement arrivé là ..............................

barbu13 a écrit:Oui mais la Bastille elle s'est prise avec les mains pas avec des mots. Alors c'est pas gagne. Parceque pour faire bouger le francais, tant qu'il a a bouffe et un certain petit confort, c'est chose impossible.
Il rale certe, mais pour agir.........

Tout à fait d'accord avec barbu13, tant que nous aurons quelque chose à perdre nous ne bougerons pas, et cela, ils le savent parfaitement.